Marketing

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Les messages et concours publicitaires sont assujettis à des lois et règlements d’application générale. Des interdictions précises peuvent également s’appliquer à certaines publicités.

Il est de votre responsabilité de respecter les exigences en vigueur.


Votre secteur d’activité ainsi que le lieu et la nature de l’affichage déterminent les normes et les règles à suivre en cette matière. Vous devez respecter les interdictions et les conditions relatives aux aspects suivants.

Affichage commercial


En vertu de la Loi sur l’aménagement et l’urbanisme, vous devez respecter la réglementation municipale sur l’affichage commercial, notamment en ce qui concerne les points suivants :

  • l’emplacement des enseignes;
  • leur type;
  • leur hauteur;
  • leur superficie;
  • leur entretien;
  • leur nombre.

Certaines situations exigent un permis ou un certificat.

Pour connaître les règlements d’affichage de votre municipalité, utilisez le service PerLE.

 

Affichage des prix


Le marquage unitaire des prix sur les produits vendus dans les commerces de détail est obligatoire. Il existe toutefois deux types d’exemption au Règlement d’application de la Loi sur la protection du consommateur, à savoir :

  1. les exemptions s’appliquant à certaines catégories de biens (celles-ci sont prévues par la loi);
  2. les exemptions relatives à l’utilisation du lecteur optique (appelée exemption générale). 
     

Respect de la Politique d’exactitude des prix

Si vous avez décidé de vous prévaloir de l’exemption générale, vous devez adopter une politique d’exactitude des prix et fournir à votre clientèle une information claire à son sujet. 

En cas d’erreur de prix à la caisse, vous êtes tenu d’indemniser sur-le-champ tout consommateur selon les dispositions prévues par la loi.
 

Affichage de permis et certificats


Certains permis ou certificats doivent être placés à la vue du public. À titre d’exemples, les permis ou certificats suivants doivent être affichés :

  • le permis d’alcool;
  • le certificat d’inscription aux fichiers de taxes (pour la vente de carburant ou de produits du tabac);
  • le certificat d’agrément (pour le libraire agréé);
  • le permis de commerçant de détail de matériel vidéo;
  • le permis lié à la Loi concernant la taxe sur les carburants;
  • le permis lié à la Loi concernant l’impôt sur le tabac;
  • le permis de vente de pesticides.

L’obligation d’afficher votre permis ou certificat est précisée par le ministère ou l’organisme qui le délivre.

Pour vous aider à trouver un permis, une licence ou un certificat, utilisez le service PerLE.
 

Affichage le long des routes


En vertu de la Loi sur la publicité le long des routes, pour installer une publicité commerciale, vous devez, au préalable, obtenir un permis du ministère des Transports selon les conditions et formalités prescrites dans la Loi et le Règlement sur la publicité le long des routes.

Cette loi interdit l’installation de publicité dans les zones scolaires, les zones de passage pour piétons, écoliers et enfants, les zones de passage étroit et les courbes ayant une vitesse réduite. Elle interdit également l’installation d’une publicité à moins de 180 mètres d’une intersection et de 600 mètres des entrées et sorties d’autoroute.
 

Pour les villes 

La Loi interdisant l’affichage publicitaire le long de certaines voies de circulation encadre l’installation d’une publicité orientée de manière à capter l’attention des automobilistes. Entre autres, il est interdit d’installer une publicité à moins de

  • 300 mètres d’un pont;
  • 200 mètres d’une intersection, d’une entrée ou sortie d’autoroute, d’un échangeur;
  • 100 mètres d’une zone scolaire ou d’une courbe prononcée.
     

Dispositions supplémentaires 

De plus, certaines dispositions du Code de la sécurité routière viennent préciser l’interdiction d’utiliser les emprises ou d’installer tout type d’affichage pouvant créer de la confusion ou faire obstruction à une signalisation. Il est notamment interdit d’installer des panneaux d’affichage en empiétant sur l’emprise routière, qui comprend entre autres les accotements, les fossés et la plupart des bordures de route.
 

Affichage sur les sites patrimoniaux


En vertu de la Loi sur le patrimoine culturel, vous devez obtenir une autorisation pour mettre en place un nouvel affichage ou bien pour modifier, remplacer ou démolir une enseigne ou un panneau-réclame situé dans

  • un arrondissement historique ou naturel;
  • un site historique classé.

La demande d’autorisation de restauration d’un bien culturel classé se fait auprès de votre direction régionale du ministère de la Culture et des Communications. Pour la ville de Montréal, il faut vous adresser au comptoir des permis de l’arrondissement concerné.

Dans tous les cas, notez que vous devez aviser votre municipalité de votre projet et vous conformer aux exigences municipales.
 

Langue d'affichage


En vertu de la Charte de la langue française, vous devez effectuer l'affichage en français.

L’affichage public comprend tout message destiné au public, à caractère commercial ou non, placé tant à l’intérieur qu’à l’extérieur d’un établissement.

Il est possible d’afficher à la fois en français et dans une autre langue, à condition que le français soit nettement prédominant.
 

Affichage extérieur d'une marque de commerce uniquement dans une autre langue que le français


Même s'il est prévu par la Charte de la langue française que l’affichage public doit être en français, il existe des exceptions. Certaines marques de commerce existent uniquement dans une autre langue que le français. C'est le Règlement sur la langue du commerce et des affaires qui encadre l'affichage des marques de commerce (PDF, 1,20 Mo) uniquement dans une autre langue que le français.

   Conseils et outils


Étiquetage des marchandises

Au Canada, la Loi sur l’emballage et l’étiquetage des produits de consommation et son règlement s’appliquent à la plupart des produits offerts sur le marché.

Au Québec, l’étiquetage des produits, quelle que soit leur nature, doit être en français. Les inscriptions peuvent être présentées en d’autres langues, pourvu que l’importance donnée au français y soit au moins égale. Il existe des prescriptions précises pour les étiquettes de certains produits lorsqu’ils sont importés ou mis sur le marché, tels que les cosmétiques, les drogues et instruments médicaux, les métaux précieux et les produits de santé naturels. Ces prescriptions relèvent à la fois du gouvernement du Canada et du gouvernement du Québec.

   Conseil et outil

  • Répertoire des écoétiquettes
    Ministère de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques
  • Produits de consommation non alimentaires

    Vous devez respecter les exigences d’étiquetage prévues par la Loi sur l’emballage et l’étiquetage des produits de consommation.

  • Produits alimentaires

    Vous devez respecter certaines exigences concernant l’étiquetage lorsque vous vendez des produits alimentaires.

  • Cosmétiques

    Pour étiqueter des cosmétiques, vous devez respecter le Règlement sur les cosmétiques et la Loi sur les aliments et drogues.

  • Drogues et instruments médicaux

    Vous devez vous conformer au Règlement sur les aliments et drogues ou au Règlement sur les instruments médicaux en ce qui a trait à l’étiquetage et l’emballage de ces produits.

  • Matériaux de rembourrage et articles rembourrés

    Vous devez vous assurer que l’étiquetage des matériaux de rembourrage et des articles rembourrés est conforme aux prescriptions du Règlement.

  • Métaux précieux

    Vous devez respecter la Loi sur le poinçonnage des métaux précieux et son règlement lors de l’importation ou la vente de ceux-ci.

  • Produits chimiques et contenants destinés aux consommateurs

    Vous devez vous conformer à la Loi sur les produits dangereux lors de la vente, la publicité et l’importation de produits dangereux ainsi qu’au Règlement sur les produits chimiques et contenants de consommation lors de l’étiquetage de ceux-ci.

  • Produits de santé naturels

    L’étiquetage et l’emballage des produits de santé naturels doivent être conformes au Règlement sur les produits de santé naturels.

  • Textiles

    Si vous êtes un fournisseur de fibres textiles ou d’articles textiles de consommation, vous êtes soumis à la Loi sur l’étiquetage des textiles.


La Loi sur la concurrence est une loi fédérale sous la responsabilité du Bureau de la concurrence. Cette loi a pour objectif général de préserver et de favoriser la saine concurrence au pays. Elle vise notamment à assurer une chance honnête aux petites et moyennes entreprises de faire partie prenante de l’économie.

Conjointement à la Loi sur la protection du consommateur et à son règlement d’application, la Loi sur la concurrence profite aussi aux consommateurs en les protégeant de pratiques frauduleuses, puis en leur assurant des prix compétitifs et un choix dans les produits.

Les lois en vigueur interdisent la publicité trompeuse et les pratiques de commerce pouvant induire le consommateur en erreur. Les entreprises doivent de plus satisfaire à des exigences précises au regard de certaines pratiques.

Les sujets qui suivent constituent des interdictions. Ils peuvent aussi être soumis à des exigences précises. Pour en savoir plus, consultez le Règlement relatif au marketing, à la publicité et à la vente.

Abus de position dominante
 

La Loi sur la concurrence vise à prévenir les abus de position dominante et les actes anticoncurrentiels. La domination d’un marché par une entreprise ne constitue pas une infraction. Toutefois, l’entreprise ayant atteint une position dominante est assujettie à des normes plus sévères.
 

Complot
 

La Loi sur la concurrence contient des dispositions précises interdisant le complot. Celui­‑ci implique l’accord entre deux personnes ou plus. Il vise à empêcher ou réduire indûment la concurrence, ou encore à augmenter déraisonnablement le prix d’un produit.
 

Concours publicitaires trompeurs
 

La loi fédérale interdit tout concours pour lequel on ne divulgue pas certains renseignements obligatoires reliés à sa tenue. La loi provinciale impose aussi des conditions et des droits applicables aux entreprises qui désirent lancer un concours publicitaire.
 

Documentation trompeuse
 

La loi fédérale sur la concurrence, sous la responsabilité du Bureau de la concurrence, interdit l’envoi de toute documentation qui laisserait croire à tort au destinataire qu’il a gagné un prix ou tout autre avantage. Il est aussi interdit de demander à ce destinataire de payer des frais pour obtenir le prix. La documentation sur les concours doit contenir certains renseignements spécifiques, tels que le nombre et la valeur approximative des prix.
 

Épreuves ou attestations fausses ou non autorisées
 

La Loi sur la concurrence interdit d’utiliser des attestations ou des épreuves de rendement de produit sans autorisation. Les tests scientifiques et les témoignages de consommateurs sont des exemples d’épreuves ou d’attestions. Il est aussi interdit d’utiliser ou de publier la déformation d’épreuves ou d’attestations, même si celles-ci sont autorisées.
 

Fraudes
 

Toute fraude est interdite en vertu des dispositions de la Loi sur la concurrence portant sur les indications fausses ou trompeuses. Voici, à titre d’exemples, diverses formes de fraudes :

  • courrier trompeur
  • fausse facture
  • fausse identité
  • technique de la vente présumée
  • télémarketing malhonnête
  • vol d’identité
     

Garanties trompeuses
 

La Loi sur la concurrence interdit d’offrir à un consommateur une garantie contenant des indications trompeuses sur un point important susceptible d’influencer sa décision d’achat. L’impression générale projetée par une indication et le sens littéral de celle-ci servent à déterminer si la garantie est trompeuse. La Loi prévoit aussi des réglementations particulières sur les différents types de garanties et les garanties sur les véhicules.
 

Indications et affichage trompeurs des prix
 

La Loi sur la concurrence interdit certaines pratiques de vente et d’indication des prix, dont les indications fausses ou trompeuses. L’indication et l’affichage des prix sont également assujettis à des règles précises.
 

Indications de rendement non fondées
 

La Loi sur la concurrence interdit de fournir au public des indications sur le rendement, l’efficacité ou la durée de vie utile d’un produit si ces indications ne s’appuient pas sur une épreuve suffisante et appropriée. Si vous donnez de telles indications, il est de votre responsabilité de prouver qu’elles sont fondées.
 

Indications fausses ou trompeuses
 

La Loi sur la concurrence interdit de fournir au public une indication fausse ou trompeuse sur un point important. Les dispositions légales sur les indications fausses et trompeuses s’appliquent à plusieurs sujets, tels que :

  • la nature et l’importance du commerce et sa position au sein du marché
  • les motifs de vente
  • l’adhésion à une association
  • l’agrément par une organisation
  • le parrainage ou l’approbation par un tiers
  • les indications et les affirmations relatives aux produits
  • les frais dissimulés ou les frais additionnels
  • l’utilisation du terme « gratuit »

Certains actes sont considérés comme criminels s’ils sont faits sciemment ou sans se soucier des conséquences qu’ils peuvent avoir sur le public.
 

Publicité pour les enfants de moins de 13 ans
 

La Loi sur la protection du consommateur interdit de manière générale la publicité à but commercial destinée aux enfants de moins de 13 ans. La loi permet toutefois ce type de publicité dans des cas particuliers, mais en respectant des règles précises.

La publicité est soumise à plusieurs autres exigences, touchant notamment l’utilisation du français, la promotion du tabac et des boissons alcooliques ainsi que les concours publicitaires.
 

Publicité trompeuse
 

De manière générale, la Loi sur la protection du consommateur interdit aux entreprises de faire de la publicité trompeuse ainsi que de se livrer à certaines pratiques de commerce connexes.
 

Refus de vendre un produit
 

Une entreprise n’a pas le droit de nuire à une entreprise cliente en refusant de l’approvisionner de façon suffisante aux conditions normales du marché. Cette pratique constitue un refus de vendre. Elle nuit à la concurrence et contrevient à la loi.
 

Restrictions verticales
 

Les restrictions verticales peuvent faire l’objet d’actions de la part du Bureau de la concurrence si elles deviennent susceptibles de causer une diminution sensible de la concurrence. Ces restrictions comprennent des pratiques telles que l’exclusivité, les ventes liées et la limitation du marché. Elles imposent de façon générale des conditions qui restreignent la liberté des consommateurs.
 

Télémarketing trompeur
 

La Loi sur la concurrence interdit de recourir au télémarketing trompeur. Vous ne pouvez pas donner une indication fausse ou trompeuse sur un point important au cours d’une communication téléphonique visant à promouvoir un produit ou un intérêt commercial.

Vous devez par ailleurs mentionner certains renseignements précis lors de vos opérations de télémarketing selon les exigences de la loi.
 

Truquage d’offres
 

Le truquage d’offres constitue une infraction criminelle. Il implique que deux soumissionnaires ou plus s’entendent afin de fausser le jeu de la concurrence. Cette pratique est faite à l’insu de l’émetteur de l’appel d’offres.
 

Vente pyramidale
 

La vente pyramidale est un système interdit de commercialisation à paliers multiples. De manière générale, elle vise davantage le recrutement rémunéré de nouveaux membres que la vente de produits. La vente pyramidale implique souvent une fausse représentation.

D’autres systèmes de commercialisation à paliers multiples sont légaux, pourvu qu’ils respectent les exigences stipulées par la Loi sur la concurrence.


Le commerce électronique, aussi appelé « commerce en ligne », se définit par les activités de vente de produits et services qui sont effectuées par l’entremise d’Internet.

Cette forme de commerce se divise en deux sphères principales soit le commerce électronique de détail, qui permet la vente en ligne de produits et services visant la consommation courante, et le commerce électronique interentreprises.
 

Les avantages


Voici un aperçu des principaux avantages du commerce électronique pour les commerçants.
 

Le commerce électronique de détail
 

  • Améliorer le service à la clientèle en proposant une interface pour les consommateurs ne vivant pas à proximité du commerce
  • Réduire les coûts
  • Adapter l’offre au profil du client
  • Avoir plus de visibilité, notamment par l’intermédiaire des médias sociaux et de leur système de partage
     

Le commerce électronique interentreprises 
 

  • Pénétrer de nouveaux marchés et offrir vos produits à une plus vaste clientèle sans être limité par l’emplacement physique de votre entreprise
  • Publier des appels d’offres et rechercher des clients potentiels
  • Fonder une relation solide avec la clientèle
  • Vendre des fournitures et des matières directement et éliminer les intermédiaires tels que les courtiers

 

Les règles à respecter


Le commerce électronique présente certains points communs avec le commerce traditionnel, notamment en ce qui concerne les règles à respecter.

Avant de vous lancer, vous devez déterminer la forme que prendra votre contrat de vente à distance. Un tel contrat correspond à l’accord conclu entre vous et un consommateur en ce qui concerne la vente de produits ou de services. Ce contrat de vente doit présenter notamment les coordonnées de votre entreprise et du consommateur, la description et le prix de chaque produit ou service vendu et la politique d’échange et de remboursement de votre entreprise.

Il faut également :

La sécurité informatique


Les cyberattaques sur le Web sont choses communes, il est donc important de protéger votre entreprise contre la cybercriminalité.

   Aide financière

   Conseils et outils


Les foires commerciales sont de belles occasions de percer et de développer des marchés. Vous pouvez y rencontrer des acheteurs et des spécialistes de votre secteur d’activité de partout dans le monde. Vous pouvez aussi en apprendre plus sur les tendances du marché que vous convoitez, évaluer vos concurrents et obtenir des renseignements utiles qui vous aideront à pénétrer de nouveaux marchés.

Le coût de participation à une foire commerciale peut varier puisque le montant des contributions est établi selon le principe du partage des frais.

Le gouvernement du Canada fournit de l’information pour maximiser les effets de la participation à une foire ou à un salon. La Banque de développement du Canada fournit également des conseils à ce sujet, notamment en ce qui a trait au calcul des coûts.

Vous trouverez dans les sites Web suivants des foires internationales et des salons commerciaux qui se tiennent partout dans le monde :


Les médias sociaux sont des plateformes virtuelles, sur Internet, permettant notamment à leurs utilisateurs d’échanger sur une foule de sujets. Au Québec, plus de 80 % de la population les utilise.

De plus en plus, les entreprises sont présentes dans les médias sociaux. Elles peuvent y mousser leur image, promouvoir leurs produits et services et être en interaction constante avec leur clientèle ou, de façon plus générale, avec le public.

Les médias sociaux permettent de fidéliser une clientèle établie ou d’attirer de nouveaux clients, voire de recruter des employés. Les médias sociaux permettent aussi de veiller à sa réputation, de créer des liens d’affaires et d’être actif dans la communauté. Les possibilités sont multiples.

Avant d’engager votre entreprise dans les médias sociaux, déterminez avec soin vos objectifs et votre champ d’action. Une bonne préparation vous assurera de meilleurs résultats et vous fera gagner du temps.

Comment se familiariser avec les médias sociaux?
 

Avant d’écrire dans les médias sociaux, commencez par vous familiariser avec leur fonctionnement. Observez sur les différentes plateformes comment les autres entreprises agissent et comment les internautes réagissent. Lisez ce qu’on dit de votre entreprise, de votre quartier ou de votre région, de votre secteur d’activité. Prenez le pouls de votre future communauté en ligne et constatez ses spécificités.
 

Quels médias sociaux utiliser?


Tous les médias sociaux ne sont pas forcément utiles pour toutes les entreprises. Alors que la clientèle d’une entreprise optera pour Facebook, celle d’une autre entreprise pourra plutôt privilégier Twitter, LinkedIn, Google+, Pinterest ou Instagram. Il est donc important de bien connaître votre public cible. Le choix des plateformes dépend aussi de vos objectifs dans les médias sociaux. Voulez-vous entrer en contact avec votre clientèle ou avec vos fournisseurs? Voulez-vous vous démarquer de la concurrence?

Pour mieux vous y retrouver, voici une brève description de quelques plateformes qui connaissent une grande popularité.
 

Facebook 

Le réseau Facebook est le plus populaire dans le monde. Il est surtout utilisé pour échanger entre amis, parents et collègues. Une certaine proportion d’utilisateurs y suit aussi les publications d’entreprises privées ou d’organismes publics. On y publie des messages, des vidéos ou des photos. Les abonnés à une page Facebook peuvent réagir positivement comme négativement, en public, et rediffuser les publications.

Facebook en chiffres

  • Plus de 2,13 milliards d'utilisateurs dans le monde
  • Plus de 1,40 milliards d’utilisateurs quotidiens
  • Plus de 5,49 millions d'utilisateurs au Québec
     

Twitter 

Le réseau Twitter est caractérisé par la longueur des messages qu’on peut y diffuser, limitée à 280 caractères. Cette brièveté permet notamment aux utilisateurs d’avoir accès à un plus grand nombre de publications (micromessages, gazouillis ou tweets) en un coup d’œil. Les mots-clics (qui débutent par un #) se trouvant dans les publications servent à les catégoriser. Ils permettent ainsi de s’intéresser à des sujets précis et d’augmenter la portée des publications. Les noms d’utilisateurs mentionnés dans les publications peuvent quant à eux être précédés d’un arobas (@) et devenir ainsi des liens vers les profils de ces utilisateurs.

Twitter en chiffres

  • Plus de 330 millions d'utilisateurs actifs mensuels dans le monde
  • Environ 500 millions de micromessages publiés chaque jour
  • Plus de 80 % des membres y accèdent par leur téléphone mobile
     

LinkedIn 

Le réseau LinkedIn est basé sur les relations professionnelles de ses membres. On y entre en contact avec des collègues ou des spécialistes du même domaine que soi ou de domaines connexes. La recherche se fait notamment par des critères liés à l’emploi. Les parcours professionnels des membres de LinkedIn représentent une bonne partie des informations qu’on y trouve. Les groupes de discussions permettent d’échanger sur divers sujets, souvent liés au domaine des affaires ou à l’entrepreneuriat. Si votre clientèle est essentiellement composée d’autres entreprises, LinkedIn est un incontournable. Ce réseau peut aussi être utile pour recruter des employés.

LinkedIn en chiffres

  • Plus de 610 millions de membres dans le monde
  • Près de 80 % des membres ayant plus de 34 ans
     

Instagram

La plateforme Instagram permet d’échanger des photos et des vidéos prises, le plus souvent, à l’aide d’un téléphone mobile. On y regarde les photos de gens qu’on suit ou encore des photos catégorisées selon des mots-clics ou selon des positions géographiques. Dans le dernier cas, on peut voir des images provenant du même endroit que celles qu’on a prises soi-même. Pour certaines entreprises, comme celles liées au tourisme et au voyage, Instagram est la plateforme par excellence.

Instagram en chiffres

  • Plus de 1 milliard d'utilisateurs actifs mensuels dans le monde
  • Plus de 80 % des utilisateurs suivent des marques
  • 76 % des utilisateurs ont entre 16 et 34 ans
     

Pinterest

Le réseau Pinterest permet à la fois la publication d’images et les échanges entre abonnés. Son fonctionnement est basé sur le principe de tableaux d’images. Il vous suffit en effet « d’épingler » des images qui ont attiré votre attention sur des tableaux en ligne. Les images sur les tableaux peuvent être catégorisées. Pour les entreprises, Pinterest correspond à une façon de faire connaître certains de leurs produits destinés à la vente.

Pinterest en chiffres

  • Plus de 200 millions de membres dans le monde
  • 85 % des usagers sont des femmes
  • 30 % des utilisateurs ont entre 25 et 34 ans
     

YouTube

La plateforme YouTube permet aux utilisateurs de créer leurs propres vidéos et de les diffuser, ou encore de rediffuser et de commenter les vidéos d’autres utilisateurs. La recherche sur YouTube se fait à l’aide de mots clés (tags). Une entreprise qui se crée une chaîne sur YouTube peut, par exemple, gagner de la notoriété. Les internautes ont la possibilité de s’abonner à la chaîne de l’entreprise et ont ainsi rapidement accès aux vidéos qu’elle diffuse.

YouTube en chiffres

  • Plus de 1,9 milliards d'utilisateurs chaque mois
  • Plus de 6 milliards d’heures de visionnement chaque mois
     

Comment agir dans les médias sociaux?


Vous pouvez proposer divers contenus dans les médias sociaux : des images, des vidéos, des offres spéciales, des actualités, des trucs de votre métier, des concours et des nouvelles de votre industrie ou de votre entreprise. L’important sera d’adapter votre message à votre public cible.

La question principale à se poser avant de soumettre une publication aux abonnés de votre compte ou amis devrait être celle de la pertinence. L’information que l’on veut donner a-t-elle un lien, de près ou de loin, avec votre entreprise? Est-elle utile et intéressante pour vos lecteurs?

Intéressez-vous à ces derniers en vous abonnant à leur compte à votre tour. Rediffusez leurs publications lorsque c’est pertinent. Interagissez avec eux. Lorsque cette communication bidirectionnelle sera établie et que vous aurez un auditoire suffisant, vous pourrez même le consulter au sujet de vos produits et services, comme vous le feriez avec un groupe de discussion (focus group) ou un panel.
 

Quelles précautions faut-il prendre?


Rappelez-vous que les messages que vous publiez dans les médias sociaux peuvent être interprétés de diverses façons par les internautes. Mieux vaut agir avec prudence, particulièrement en ce qui concerne des messages pouvant être perçus comme négatifs, porteurs d’une connotation ou sujets à la controverse.

Il peut arriver que des internautes émettent des commentaires négatifs à l’égard de votre entreprise. Réfléchissez à l’avance à la façon dont vous les gérerez. Certains vont ignorer ou effacer ces commentaires, d’autres vont préférer y répondre avec franchise et transparence.

Vous pourriez également envisager d’adopter une nétiquette pour vous prémunir contre des messages irrespectueux ou abusifs de la part d’internautes.
 

Qui peut vous aider?


Plusieurs entreprises font appel à un animateur de communauté (gestionnaire de communauté ou stratège Web 2.0) pour leur confier la gestion de leurs activités dans les médias sociaux. Engager un spécialiste peut être une option intéressante, en particulier si vous avez peu de temps pour découvrir les médias sociaux ou pour y gérer des comptes au quotidien.

   Conseils et outils

   Formation


Site Web d'entreprise

Un site Web s’avère indispensable pour faire connaître son entreprise, conquérir de nouveaux marchés et traiter avec les clients et les fournisseurs. Voici des éléments importants à réaliser pour créer et maintenir un site Web.


Déterminer ses objectifs 


Voici quelques questions à se poser avant de créer un site Web :

  • À quoi servira le site Web?
  • Quel en sera le public cible?
  • Quels types de contenus présentera-t-on dans le site Web?
  • À quelle fréquence mettra-t-on ces contenus à jour?

Il peut être intéressant de consulter les sites Web des entreprises compétitrices pour savoir quels types de contenus y sont présentés et à quelle fréquence ils sont mis à jour.
 

Recourir à des spécialistes 


La création d’un site Web requière des compétences associées à divers champs d’expertise. Si vous n’avez pas toutes les compétences requises pour réaliser la démarche qui s’impose, plusieurs ressources peuvent vous aider.

L’agence Web offre un service clé en main. Elle prend en charge toutes les actions liées à la réalisation d’un site Web, incluant le design graphique et la publicité. Pour trouver une agence Web, consultez le site Agences Web du Québec.

Le designer graphique peut concevoir le visuel d’un site Web de même que celui de toute communication qui s’y rapporte (par exemple, une publicité ou une infolettre). Pour trouver un designer graphique, consultez le site de la Société des designers graphiques du Québec.

Le développeur Web s’occupe de la réalisation technique d’un site Web. Il peut aussi offrir du soutien technique lorsqu’un site est en ligne. Pour trouver un développeur Web, consultez le site de l’Association québécoise des informaticiennes et informaticiens indépendants.

L’ergonome Web propose des solutions pour qu’un site Web soit le plus facile possible à utiliser. Pour trouver un ergonome Web, consultez le site de l’Association canadienne d’ergonomie.

Le spécialiste en référencement propose des solutions pour accroître la visibilité et améliorer le positionnement d’un site dans le Web. Son rôle est étroitement lié à la promotion d’un site.

Le webmestre s’occupe de la maintenance et de la mise à jour d’un site Web. Il peut aussi collaborer à la création et à la mise en ligne d’un site.

Le gestionnaire de contenu Web s’occupe de la rédaction, de la gestion et de la mise à jour des contenus d’un site Web. Pour trouver un gestionnaire de contenu Web, consultez le site de la Société québécoise de la rédaction professionnelle.
 

Concevoir l’arborescence et la maquette de son site Web 


Lorsque le contenu d’un site Web est choisi, il faut trouver une façon logique et cohérente de le présenter. C’est ce qu’on appelle faire l’arborescence. L’arborescence correspond à la structure globale de l’information dans le site Web. Faire l’arborescence permet de schématiser l’information, de la hiérarchiser et de la classer dans différentes sections et sous-sections.

Une fois l’arborescence terminée, il faut créer la maquette du site Web. La maquette représente la physionomie qu’aura le site. Elle doit être ergonomique, efficace et esthétique. La création de la maquette est une étape où la créativité est recherchée, mais où il ne faut pas négliger les objectifs, le public cible et l’image de marque de l’entreprise. C’est entre autres lors de l’élaboration de la maquette qu’on choisira les couleurs du site et l’emplacement des contenus dans l’arborescence. La maquette doit se décliner selon les différentes résolutions d’écran. En effet, de plus en plus d’utilisateurs utilisent un téléphone mobile ou une tablette. La notion de design adaptatif doit être considérée à l’étape de la conception et non une fois le site créé.
 

Choisir et enregistrer un nom de domaine 


Choisir un nom de domaine

Le nom de domaine peut représenter à la fois l’adresse et l’identité de l’entreprise dans Internet. Le nom de domaine doit être précis, facile à mémoriser et court, de préférence. Quand le nom de domaine est choisi judicieusement, il peut permettre d’accroître la notoriété d’un site Web et son nombre de visiteurs. Plusieurs facteurs déterminent le choix d’un nom de domaine, notamment la disponibilité du nom souhaité et le budget prévu pour l’achat.

Tout nom de domaine se termine par une extension. On distingue deux types d’extensions : génériques et géographiques.

Extensions génériques

Les extensions génériques sont sous la responsabilité de l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (ICANN). Les plus courantes sont les suivantes :

  • .com ou .biz (pour les sites d’entreprises);
  • .net ou .info (pour les sites d’information);
  • .org (pour les sites d’organismes ou d’autres organisations).

Plusieurs nouvelles extensions génériques sont également disponibles depuis 2013. La liste complète des extensions génériques se trouve sur le site de l’Internet Assigned Numbers Authority (IANA), une composante de l’ICANN. Elle est offerte en anglais seulement.

Extensions géographiques

Un nom de domaine peut comprendre une extension géographique qui correspond à un pays. Les extensions géographiques sont uniquement composées de deux caractères, ce qui les distingue des extensions génériques, qui comptent trois caractères ou plus. On trouve par exemple 

  • .ca, qui correspond à Canada;
  • .fr, qui correspond à la France.

Les noms de domaine comprenant l’extension .ca sont attribués par CIRA.

Lorsqu’une entreprise fait des affaires dans plusieurs pays, elle peut avoir intérêt à inclure dans son nom de domaine plusieurs extensions géographiques différentes.


Enregistrer un nom de domaine

Il est important de consulter des annuaires de noms de domaine avant d’enregistrer celui que vous choisirez, afin de voir s’il n’a pas déjà été choisi.

Pour savoir si un nom de domaine comprenant l’extension .ca est utilisé, consulter le registre Whois.

Pour savoir si un nom de domaine comprenant une autre extension est utilisé, consulter le site de l’ICANN.

Pour pouvoir utiliser un nom de domaine et en avoir l’exclusivité, il faut l’enregistrer par l’intermédiaire d’un fournisseur accrédité appelé registraire. La durée et le coût d’un enregistrement peuvent varier.

Vous pouvez obtenir la liste des registraires pouvant réserver des noms de domaine comprenant l’extension .ca sur le site de l’Autorité canadienne pour les enregistrements Internet. De plus, l’ICANN fournit une liste mondiale des registraires accrédités. Cette liste est offerte en anglais seulement.

Arbitrage des conflits

Il peut arriver que le nom de domaine que vous désirez utiliser soit déjà réservé. Il peut avoir été légitimement attribué à une entreprise dont le nom est semblable au vôtre ou qui offre un produit dont le nom est semblable au nom de votre produit.

Vous pourriez aussi être victime de cybersquattage, c’est-à-dire qu’une personne aurait déjà enregistré le nom que vous voulez utiliser dans le but de bloquer son attribution, pour ensuite tenter d’en monnayer l’utilisation.

CIRA et l’ICANN, présentent dans leurs sites une information complète à l’intention de ceux qui se croient lésés.
 

Indexer et promouvoir son site Web 


Il y a des actions destinées à améliorer le positionnement ainsi que la visibilité d’un site sur le Web. En voici quelques-unes :


L'indexation

L’indexation permet à votre site de figurer dans les résultats obtenus lors d’une recherche effectuée à l’aide de différents moteurs de recherche (Google, Yahoo!, Bing, etc.). Cette technique repose sur l’utilisation de robots d’indexation de moteurs de recherche qui analysent les différentes pages de votre site Web. Plus son contenu sera pertinent, unique et bien organisé, meilleur sera le positionnement de votre site. La durée du processus d’indexation est variable. Après la mise en ligne du site Web, il faut compter de quelques jours à quelques semaines avant que le site ne soit indexé.


L'optimisation

Il est possible d’optimiser son site afin d’en améliorer le positionnement dans les moteurs de recherche. L’optimisation se fait de différentes façons : ajout de titres parlants, pertinents et, de préférence, courts; bonification des mots-clés, etc. Une optimisation des contenus favorise également le positionnement : un contenu mis à jour régulièrement, pertinent et bien écrit sera toujours plus facilement trouvé par les moteurs de recherche.


La promotion

Il existe d’autres façons d’augmenter le nombre de visiteurs et de maximiser la visibilité de votre site Web, notamment :

  • l’utilisation des médias sociaux;
  • l’envoi d’une infolettre;
  • l’ajout de bannières publicitaires et de liens dans d’autres sites;
  • votre présence ponctuelle dans les forums;
  • l’inclusion de votre site dans les annuaires Web;
  • la création d’un blogue et l’ajout de contenu exclusif.
     

Mettre à jour son site Web 


La mise à jour régulière de contenu est la clé du succès de votre site Web. Elle aidera à la fidélisation de votre clientèle et améliorera le positionnement de votre site dans le Web et, par le fait même, sa visibilité. Votre site Web est lié à votre image de marque; si vous le négligez, les visiteurs peuvent douter de votre crédibilité. Voici quelques suggestions :

  • tenez à jour l’information sur vos produits et services (prix, forfaits, promotions en cours, etc.);
  • indiquez les dates des prochains événements que vous organisez;
  • ajoutez constamment de nouveaux contenus (articles, nouveautés concernant l’entreprise, etc.);
  • peaufinez des sections déjà existantes;
  • modernisez régulièrement l’interface du site Web.

   Conseils et outils

   Formations


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